Les dik-diks sont des antilopes naines, qui mesurent à l'épaule de 30 à 43 cm. Le nom dik-dik vient du bruit qu'ils font lorsqu'ils sont en danger. Ils pèsent de 3 à 5 kg.
Les dik-diks vivent en couple monogame dans un territoire fixe de 0,05 km². Ce sont des animaux semi-nocturnes, se nourrissant la nuit, le plus souvent avant l'aube et après le crépuscule. Ils sont herbivores, se nourrissant de feuilles, de pousses, de fruits et de baies. Les dik-diks consomment ainsi suffisamment d'eau pour leur éviter de boire. Ils peuvent courir à la vitesse maximum de 40 km/h, petit, vif, il disparait et se cache facilement dans un milieu boisé, cela rend la chasse difficile aux différents prédateurs.
Ils vivent leur vie avec le même compagnon. À la naissance, les faons pèsent environ 0,7 kg. Ils atteignent l'âge adulte entre 6 et 8 mois.
Les guides touristiques nous avaient informé que dans la partie est du parc d’Etosha, il y avait des dik-diks. Il fallait faire très attention et bien regardé dans les fourrés.
Nous avons parcourus bien des pistes dans cette partie à la recherche de tout ce qui bougeait mais aussi en faisant plus particulièrement attention à débusquer un dik-dik : Nada, rien… Il nous faudra revenir une autre fois.
On sort d’Etosha, les appareils déposés à côté de nous mais plus préparer à d’autre rencontres. A peine sorti d’Etosha, qu’on rencontre un éléphant mais bon on avait eu notre quota et on prend plaisir à l’observer.
On continue notre route et quelqu’un indique quelque chose qui bouge dans les buissons. Je prends mon reflex et j’essaie de voir, puis derrière un buisson, on aperçoit un couple de dik-dik mais il décampe aussi sec.
Malgré l’absence de photos, nous sommes très heureux d’avoir entrevu cette minuscule antilope. Il va bientôt être 18h30 et la nuit va tomber brutalement. On se dépêche de rouler vers notre étape et, soudain un cri : dik-dik !
Sur le bas côté de la route, il (elle) est là, les oreilles aux aguets, nous regardant avec ses superbes grands yeux. Elle rappelle un peu le raphicère (50 à 55 cm de hauteur au garrot) en beaucoup plus petit.
Je saisis mon reflex équipé du 70-200, tel que les réglages sont : C’est un principe de faire une première photo et puis d’ajuster. Lumière difficile car il fait sombre mais je suis à pleine ouverture et à 200 ISO. Je ne parviens pas à faire la MAP sur l’œil car elle est très vive et ne reste pas en place. Tout va très vite et je n'ai pas le temps de faire d'autres réglage.
Le piqué n’est pas extraordinaire mais je partage ces photos et ce grand moment d’émotion avec vous
Les dik-diks vivent en couple monogame dans un territoire fixe de 0,05 km². Ce sont des animaux semi-nocturnes, se nourrissant la nuit, le plus souvent avant l'aube et après le crépuscule. Ils sont herbivores, se nourrissant de feuilles, de pousses, de fruits et de baies. Les dik-diks consomment ainsi suffisamment d'eau pour leur éviter de boire. Ils peuvent courir à la vitesse maximum de 40 km/h, petit, vif, il disparait et se cache facilement dans un milieu boisé, cela rend la chasse difficile aux différents prédateurs.
Ils vivent leur vie avec le même compagnon. À la naissance, les faons pèsent environ 0,7 kg. Ils atteignent l'âge adulte entre 6 et 8 mois.
Les guides touristiques nous avaient informé que dans la partie est du parc d’Etosha, il y avait des dik-diks. Il fallait faire très attention et bien regardé dans les fourrés.
Nous avons parcourus bien des pistes dans cette partie à la recherche de tout ce qui bougeait mais aussi en faisant plus particulièrement attention à débusquer un dik-dik : Nada, rien… Il nous faudra revenir une autre fois.
On sort d’Etosha, les appareils déposés à côté de nous mais plus préparer à d’autre rencontres. A peine sorti d’Etosha, qu’on rencontre un éléphant mais bon on avait eu notre quota et on prend plaisir à l’observer.
On continue notre route et quelqu’un indique quelque chose qui bouge dans les buissons. Je prends mon reflex et j’essaie de voir, puis derrière un buisson, on aperçoit un couple de dik-dik mais il décampe aussi sec.
Malgré l’absence de photos, nous sommes très heureux d’avoir entrevu cette minuscule antilope. Il va bientôt être 18h30 et la nuit va tomber brutalement. On se dépêche de rouler vers notre étape et, soudain un cri : dik-dik !
Sur le bas côté de la route, il (elle) est là, les oreilles aux aguets, nous regardant avec ses superbes grands yeux. Elle rappelle un peu le raphicère (50 à 55 cm de hauteur au garrot) en beaucoup plus petit.
Je saisis mon reflex équipé du 70-200, tel que les réglages sont : C’est un principe de faire une première photo et puis d’ajuster. Lumière difficile car il fait sombre mais je suis à pleine ouverture et à 200 ISO. Je ne parviens pas à faire la MAP sur l’œil car elle est très vive et ne reste pas en place. Tout va très vite et je n'ai pas le temps de faire d'autres réglage.
Le piqué n’est pas extraordinaire mais je partage ces photos et ce grand moment d’émotion avec vous