Les différents univers de Dennis Hopper
Icône malgré lui, il immortalise une décennie de bouleversements culturels
"Je le faisais en me disant que ça pourrait avoir de l’importance un jour. À bien des égards, ce sont vraiment ces photos qui ont stimulé ma créativité." — Dennis Hopper
Pendant les années 60, Dennis Hopper ne se séparait jamais de son appareil photo qu’il emportait aussi bien sur les plateaux ou lieux de tournage que dans les soirées, les bars, les cafés, les galeries, sur la route ou encore dans les manifestations politiques. Il a photographié des vedettes de cinéma, des pop stars, des artistes, des écrivains, ses petites amies aussi bien que de parfaits inconnus. Au fil du temps, avec beaucoup de perspicacité et d’intuition, il a su saisir quelques-uns des moments les plus fascinants de sa génération. Icône malgré lui, à l’épicentre du bouleversement culturel de l’époque, Hopper a immortalisé Tina Turner en studio d’enregistrement, Andy Warhol lors de sa première exposition dans une galerie de la côte Ouest, Paul Newman en tournage ou encore Martin Luther King durant la marche pour les Droits Civiques de Selma à Montgomery, en Alabama.
Ses photographies se regardent comme un film, un récit poignant qui s’exprime à travers une série d’images épurées, des premiers clichés de corrida à Tijuana, aux happenings de Los Angeles en passant par de simples scènes de rue. Toutes font preuve d’une liberté expérimentale que l’on retrouvera par la suite dans l’étonnant univers visuel d’Easy Rider et d’autres films.
La suite : ICI
Icône malgré lui, il immortalise une décennie de bouleversements culturels
"Je le faisais en me disant que ça pourrait avoir de l’importance un jour. À bien des égards, ce sont vraiment ces photos qui ont stimulé ma créativité." — Dennis Hopper
Pendant les années 60, Dennis Hopper ne se séparait jamais de son appareil photo qu’il emportait aussi bien sur les plateaux ou lieux de tournage que dans les soirées, les bars, les cafés, les galeries, sur la route ou encore dans les manifestations politiques. Il a photographié des vedettes de cinéma, des pop stars, des artistes, des écrivains, ses petites amies aussi bien que de parfaits inconnus. Au fil du temps, avec beaucoup de perspicacité et d’intuition, il a su saisir quelques-uns des moments les plus fascinants de sa génération. Icône malgré lui, à l’épicentre du bouleversement culturel de l’époque, Hopper a immortalisé Tina Turner en studio d’enregistrement, Andy Warhol lors de sa première exposition dans une galerie de la côte Ouest, Paul Newman en tournage ou encore Martin Luther King durant la marche pour les Droits Civiques de Selma à Montgomery, en Alabama.
Ses photographies se regardent comme un film, un récit poignant qui s’exprime à travers une série d’images épurées, des premiers clichés de corrida à Tijuana, aux happenings de Los Angeles en passant par de simples scènes de rue. Toutes font preuve d’une liberté expérimentale que l’on retrouvera par la suite dans l’étonnant univers visuel d’Easy Rider et d’autres films.
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