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3 participants
Test de l'objectif AF-S Micro Nikkor 40mm f/2.8G
Halo- Médaille de platine
- Nombre de messages : 15440
Age : 73
Localisation : Liège (environ)
Profession : Ingénieur
Niveau photo : Amateur averti
Expérience : > 10 < 20 ans
Boitier : D300s/D610
Objectifs : 16 -35 f4 VR; 24-70 f2.8; 70-200 f2.8; 300 f4; TC14; TC1.7
Date d'inscription : 02/11/2008
Réputation : 0
honeybee- Médaille de platine
- Nombre de messages : 19311 Age : 78
Localisation : B 5350
Profession : Mécanique générale (Retraité )
Niveau photo : Amateur
Expérience : > 10 < 20 ans
Boitier : F....D300-D700.
Objectifs : Nikon et Sygma
Date d'inscription : 21/10/2009
Réputation : 0
Toujours bon de savoir,merci pour le lien.
hugues- Médaille de bronze
- Nombre de messages : 5728 Age : 57
Localisation : Namur
Niveau photo : Débutant
Date d'inscription : 03/06/2010
Réputation : 0
Le challenge de la mise au point
Ceci n'est pas du fait de la conception de l'AF-S DX Micro Nikkor 40mm F/2.8G mais simplement des lois de l'optique : plus on se rapproche du rapport de reproduction maximal, plus la profondeur de champ (la zone de netteté dans l'image) devient ténue. A telle point qu'elle ne dépasse pas une poignée de millimètres à 1:1 diaphragme fermé.
Voici la profondeur de champ illustrée avec une photo de gouttelettes de rosée non loin du rapport 1:1, sur la première image, prise à f/5, l'ouverture maximale à cette distance (l'optique réduit automatiquement son ouverture maximale au fur et à mesure que l'on se rapproche du sujet), la profondeur de champ est de seulement 3 mm. Diaphragme fermé à f/16, elle atteint environ 8 à 10 mm.
Q: Peut-on espérer quand même être à f5.6 pour faire de la macro ?
Ceci n'est pas du fait de la conception de l'AF-S DX Micro Nikkor 40mm F/2.8G mais simplement des lois de l'optique : plus on se rapproche du rapport de reproduction maximal, plus la profondeur de champ (la zone de netteté dans l'image) devient ténue. A telle point qu'elle ne dépasse pas une poignée de millimètres à 1:1 diaphragme fermé.
Voici la profondeur de champ illustrée avec une photo de gouttelettes de rosée non loin du rapport 1:1, sur la première image, prise à f/5, l'ouverture maximale à cette distance (l'optique réduit automatiquement son ouverture maximale au fur et à mesure que l'on se rapproche du sujet), la profondeur de champ est de seulement 3 mm. Diaphragme fermé à f/16, elle atteint environ 8 à 10 mm.
Q: Peut-on espérer quand même être à f5.6 pour faire de la macro ?
Halo- Médaille de platine
- Nombre de messages : 15440 Age : 73
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Profession : Ingénieur
Niveau photo : Amateur averti
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Objectifs : 16 -35 f4 VR; 24-70 f2.8; 70-200 f2.8; 300 f4; TC14; TC1.7
Date d'inscription : 02/11/2008
Réputation : 0
Merci pour tes infos complémentaires hugueshugues a écrit:Le challenge de la mise au point
Ceci n'est pas du fait de la conception de l'AF-S DX Micro Nikkor 40mm F/2.8G mais simplement des lois de l'optique : plus on se rapproche du rapport de reproduction maximal, plus la profondeur de champ (la zone de netteté dans l'image) devient ténue. A telle point qu'elle ne dépasse pas une poignée de millimètres à 1:1 diaphragme fermé.
Voici la profondeur de champ illustrée avec une photo de gouttelettes de rosée non loin du rapport 1:1, sur la première image, prise à f/5, l'ouverture maximale à cette distance (l'optique réduit automatiquement son ouverture maximale au fur et à mesure que l'on se rapproche du sujet), la profondeur de champ est de seulement 3 mm. Diaphragme fermé à f/16, elle atteint environ 8 à 10 mm.
Q: Peut-on espérer quand même être à f5.6 pour faire de la macro ?
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