Je t'aime, un peu, beaucoup, passionnément ....
Le langage de la Marguerite, floraison d'été à automne, est une fleur au langage diversifié ; suivant ses couleurs, elle exprime la fidélité en amour la séduction ou l'amour timide.
Légende LA MARGUERITE
Il était une fois une jeune fille qui habitait avec sa grand-mère, une maisonnette, dans une
forêt à la périphérie d’un village, près d’une rivière.
Elle s’appelait Marguerite. Elle était bien triste car elle s’imaginait être laide et ne jamais pouvoir conquérir le coeur d’un garçon qu’elle aimait.
Alors elle pensa se confesser à une bonne et belle fée qui régnait sur la rivière.
La fille la pria de lui donner un peu de sa beauté. Après avoir écouté toute son histoire, la fée dit à Marguerite qu’elle se trompait car, certes, le garçon de ses rêves avait mille raisons pour l’admirer.
Mais la fille ne voulait pas y croire. Comme la fée ne put accomplir son désir, elle la
transforma en une fleur toute pareille à la fille délicate, avec des pétales blancs comme sa peau et le centre jaune comme avaient été ses cheveux.
La fée lui donna même un nom : MARGUERITE. L’année suivante les jeunes gens du
village virent le long de la rivière, des champs de marguerites.
Le garçon que Marguerite avait aimé, les apprécia tellement qu’il en planta quelques unes dans son jardin, sans savoir qu’elles étaient nées de l’amour d’une fille pour lui.
Il est possible que la fée ait eu raison de dire que le garçon aurait aimé Marguerite...
Depuis, garçons et filles rompent un à un les pétales d’une marguerite pour savoir si leur amour est partagé : ... il m’aime, ... il ne m’aime pas, ... elle m’aime, ... ?
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Le langage de la Marguerite, floraison d'été à automne, est une fleur au langage diversifié ; suivant ses couleurs, elle exprime la fidélité en amour la séduction ou l'amour timide.
Légende LA MARGUERITE
Il était une fois une jeune fille qui habitait avec sa grand-mère, une maisonnette, dans une
forêt à la périphérie d’un village, près d’une rivière.
Elle s’appelait Marguerite. Elle était bien triste car elle s’imaginait être laide et ne jamais pouvoir conquérir le coeur d’un garçon qu’elle aimait.
Alors elle pensa se confesser à une bonne et belle fée qui régnait sur la rivière.
La fille la pria de lui donner un peu de sa beauté. Après avoir écouté toute son histoire, la fée dit à Marguerite qu’elle se trompait car, certes, le garçon de ses rêves avait mille raisons pour l’admirer.
Mais la fille ne voulait pas y croire. Comme la fée ne put accomplir son désir, elle la
transforma en une fleur toute pareille à la fille délicate, avec des pétales blancs comme sa peau et le centre jaune comme avaient été ses cheveux.
La fée lui donna même un nom : MARGUERITE. L’année suivante les jeunes gens du
village virent le long de la rivière, des champs de marguerites.
Le garçon que Marguerite avait aimé, les apprécia tellement qu’il en planta quelques unes dans son jardin, sans savoir qu’elles étaient nées de l’amour d’une fille pour lui.
Il est possible que la fée ait eu raison de dire que le garçon aurait aimé Marguerite...
Depuis, garçons et filles rompent un à un les pétales d’une marguerite pour savoir si leur amour est partagé : ... il m’aime, ... il ne m’aime pas, ... elle m’aime, ... ?
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