Les nouveaux reflex Pentak, évoqués récemment (K20D et K200D) permettront de faire de la photo HDR sans utiliser un logiciel externe. En effet, les capteurs de ces appareils sont capables d'effectuer plusieurs lectures simultanées des informations de l'image, aussi bien sur les hautes lumières que sur les zones d'ombre.
Ces boitiers sont équipés d'un mode HDR, accessible par les menus, qui permettent d'utiliser ce mode de mesure : l'appareil prend trois photos, et les combine en une image HDR.
Le site HDRI news évoque cette fonction, et ne fait pas vraiment dans l'éloge. En effet, le mode HDR ne permet que la sauvegarde Jpeg : il ne s'agit donc pas d'une véritable photo HDR (donc 32 bits, et non 8 bits comme en jpeg), mais bien d'une photo qui est passée par un processus de tonemapping. La confusion des termes dans le domaine du HDR continue donc... Et ceux qui espéraient une photo 32 bits à l'arrivée seront déçus.
Le résultat de ce mode HDR est donc totalement inutile pour celui qui veut faire lui-même le tonemapping (via des outils comme Photomatix) ou utiliser des photos 32 bits pour de l'éclairage de scènes 3D.
Reste que le photographe qui veut juste une dynamique étendue, ou éviter une sur/sous exposition, lui, y trouvera sans doute son compte.
Les boîtiers Sony Alpha 450, 500 et 550 embarquent un mode HDR automatique. Afin de rendre son mode HDR opératoire et pleinement utilisable, Sony a réduit à deux le nombre de photos à expositions décalées. Les deux clichés sont pris en rafale, séparés de 150ms. Ce délai très court permet de ne pas systématiquement utiliser un trépied et ouvre la possibilité de photographier en HDR certains sujets faiblement mobiles.
Le temps de traitement est remarquablement court puisque 2s suffisent pour produire l’image fusionnée (à comparer à la dizaine de secondes nécessaire avec le Pentax K7, qui utilise toutefois trois clichés et non deux). Le temps d’accès à la fonction est également court grâce à la touche d’accès direct D-RANGE. Le mode HDR et l’amplitude de la plage dynamique se sélectionnent de la même manière que pour le DRO.
Tous les modes d’exposition sont autorisés en HDR, et l’appareil n’en impose aucun, mais il est conseillé de choisir la mesure Multizones. Le mode autofocus choisi n’a aucun impact sur le résultat.
(Suite sur alpha-numerique )
Ces boitiers sont équipés d'un mode HDR, accessible par les menus, qui permettent d'utiliser ce mode de mesure : l'appareil prend trois photos, et les combine en une image HDR.
Le site HDRI news évoque cette fonction, et ne fait pas vraiment dans l'éloge. En effet, le mode HDR ne permet que la sauvegarde Jpeg : il ne s'agit donc pas d'une véritable photo HDR (donc 32 bits, et non 8 bits comme en jpeg), mais bien d'une photo qui est passée par un processus de tonemapping. La confusion des termes dans le domaine du HDR continue donc... Et ceux qui espéraient une photo 32 bits à l'arrivée seront déçus.
Le résultat de ce mode HDR est donc totalement inutile pour celui qui veut faire lui-même le tonemapping (via des outils comme Photomatix) ou utiliser des photos 32 bits pour de l'éclairage de scènes 3D.
Reste que le photographe qui veut juste une dynamique étendue, ou éviter une sur/sous exposition, lui, y trouvera sans doute son compte.
Les boîtiers Sony Alpha 450, 500 et 550 embarquent un mode HDR automatique. Afin de rendre son mode HDR opératoire et pleinement utilisable, Sony a réduit à deux le nombre de photos à expositions décalées. Les deux clichés sont pris en rafale, séparés de 150ms. Ce délai très court permet de ne pas systématiquement utiliser un trépied et ouvre la possibilité de photographier en HDR certains sujets faiblement mobiles.
Le temps de traitement est remarquablement court puisque 2s suffisent pour produire l’image fusionnée (à comparer à la dizaine de secondes nécessaire avec le Pentax K7, qui utilise toutefois trois clichés et non deux). Le temps d’accès à la fonction est également court grâce à la touche d’accès direct D-RANGE. Le mode HDR et l’amplitude de la plage dynamique se sélectionnent de la même manière que pour le DRO.
Tous les modes d’exposition sont autorisés en HDR, et l’appareil n’en impose aucun, mais il est conseillé de choisir la mesure Multizones. Le mode autofocus choisi n’a aucun impact sur le résultat.
(Suite sur alpha-numerique )